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CUBA. MUSIQUE ART LITTERATURE.
Varlaam Galerie Artist Agent : https://www.instagram.com/varlaam.galerie/
– Promotion of France based cuban artist ACONCHA
– Outsider, raw, mediumnic art depicting the Yorubas’ inherited Orishas’ cult.
Aconcha, art singulier, multi facette franco-cubaine, (peintre, sculpteur, dessinateur, performeur, auteur-interprète, écrivain) née à la Havana Cuba, est influencée par le monde magique des Orishas, divinités du panthéon Yorouba. Elle s’inscrit dans la mouvance del’art brut & singulier, art contemporain africain diaspora tant dans son oeuvre picturale que
dans sa performance musicale.
voir extrait performances plastico-musicale
https://www.youtube.com/watch?v=xV6DPs_nxV4
Son travail d’artiste se décline par un flot de couleurs, d’incrustations de tissus, de collages superposées et enchevêtrés avec différents matériaux. C’est à travers la luxuriance de ses créations qu’elle apparaît et rejoindra la Femme profonde, qui est à la fois diurne et nocturne, Yin et Yang.
Des signes secrets et syncrétiques du rite Yorouba se camouflent dans les personnages qui envahissent les tableaux d’Aconcha.
Elle crée en toute liberté sans formatage : Musique, peinture, sculpture, dessin. Elle ne veux pas être prisonnière d’une méthode. Ses moteurs sont l’enchantement et le plaisir. Comme un éternel enfant. Elle peint pour se protéger, pour exister tout simplement.
Elevée dans le milieu de la couture, entourée d’une grand-mère béninoise spécialiste en patchwork, d’une mère orfèvre-couturière et d’une tante coloriste, elle apprit depuis sa jeune enfance les mélanges de textures, de transparence, de points couture et de couleurs. Par sa passion pour les mélanges des fibres, elle essaie d’exprimer le mystère des métissages et de tisser des liens vers ses ancêtres.
Aconcha a aussi écrit un livre:
Confessions d’une jeune révolutionnaire cubaine devenue prêtresse en Santeria
Est-ce parce qu’elle est loin de l’île de son enfance, qu’elle est sans lieu ni destinée, qu’inlassablement Aconcha poursuit une quête ? Retrouver la femme abyssale, le faire émerger “des eaux profondes et noires”. Depuis quarante ans, elle essaie de mettre un visage, de donner corps à cette femme. Elle l’a d’abord habillée de mille étoffes et couleurs. Puis, après le départ de sa mère, elle a décidé de mettre des mots sur son visage, de la nommer: Yemaya des eaux, Yemaya Olokun, Orisha ou déesse majeure du Panthéon Yorouba. Dans ce livre, Aconcha raconte et dessine avec talent et humour sa jeunesse partagée entre la révolution et les Orishas, ces forces de la nature qui délicatement proposent un chemin vers un état “d’être plus et mieux”. Elle évoque aussi son départ vers l’Europe, les chocs et les questions qu’elle se pose face à ce nouveau “Vieux Monde”. Puis finalement, elle parle de la réconciliation avec son passé, sa décision d’aller enfin à la rencontre de la femme qui l’habite. Pour recréer certaines ambiances, elle n’hésite pas à proposer une série de recettes succulentes qui nous mettent résolument en appétit pour son monde. Un ouvrage de passion, de rencontres, de métissages.